30 août 2007
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"Au voleur ! Au voleur ! A l'assassin ! Au meurtrier ! Justice juste ciel ! Je suis perdue, je suis assassinée, on m'a coupé la gorge, on m'a volé ma lavande !..."
Tel Harpagon (dans l'Avare de Molière), je fus outrée de constater l'autre matin que quelqu'un(e) avait dérobé la belle lavande que j'avais plantée au devant de la maison afin d'embellir la rue... Le gredin sans coeur ! "Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ?"
Ne faut-il pas être un brin avare pour commettre un tel crime ? Ce n'est pourtant pas une plante bien chère ou bien rare, une lavande ! Je suis dépitée...
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